Chères Bandolaises, chers Bandolais,
« Notre Maire, il fait le job ». Voilà une expression qui m’a souvent été rapportée de la bouche des Bandolais. Elle me va bien, et notre bilan démontre sa justesse.
Être Maire, ce n’est pas faire n’importe quoi pour « être aimé », ce n’est pas rendre des petits (ou des grands) services aux amis. Être maire, cela a été pendant 6 ans avec notre équipe un travail sans relâche afin de réaliser ce sur quoi nous nous étions engagés :
– Depuis 2015, il n’y a pas eu d’augmentation des taux d’imposition, alors que j’avais trouvé à ma prise de fonction une situation financièrement très délicate.
– Avec la rénovation du quai de Gaulle, promis depuis près de 40 ans et jamais réalisé, la ville a retrouvé une attractivité qu’elle avait perdue au fil des ans. Ce projet a été autofinancé, sans faire d’emprunt. Une participation du département et de la région nous ont aussi aidé.
Mais être Maire, c’est aussi savoir être réactif dans l’urgence, et l’action de notre équipe, pendant la crise du coronavirus, a je crois été exemplaire. Nous avons ainsi :
– apporté immédiatement une aide aux plus défavorisés en distribuant des repas gratuits,
– aidé les commerçants en les exonérant de la redevance d’occupation jusqu’à la fin de l’année,
– protégé la santé des Bandolais, des professionnels de santé et des commerçants en nous procurant et en distribuant rapidement des masques de qualité adaptés à chaque situation.
La crise sanitaire n’a fait que confirmer que notre vision était la bonne, car Bandol fera partie des villes « qui s’en sortiront », grâce au redressement et à l’assainissement de la situation financière.
Tournons-nous maintenant vers l’avenir. Notre programme est ambitieux, mais il est fait d’engagements responsables, réalistes et réalisables. Vous le savez, j’ai respecté le programme que je vous avais proposé en 2015, et je respecterai le programme proposé en 2020 avec les membres de notre liste.
Malgré la crise sanitaire, la bonne santé financière de la commune ne nous obligera pas à le revoir à la baisse comme devront le faire certaines municipalités.
Pour ce second tour, notre liste, sans étiquette politique, n’a fait aucune fusion ou tractation. C’est un choix assumé depuis le départ, que nous vous avions annoncé avant le premier tour.
Notre adversaire, conscient de son retard important, et qui annonçait vouloir rallier les bonnes volontés au soir du premier tour, aura tout tenté , y compris des manoeuvres « curieuses » que 2 têtes de liste du premier tour ont dénoncées dans la presse. En vain. Lui qui annonce vouloir apaiser et rassembler les Bandolais n’aura réussi à rallier personne, mais aura menacé 3 de ses 4 adversaires du premier tour de poursuites en justice. Une différence entre le discours de façade et les actes qui se retrouve d’ailleurs de manière générale dans sa campagne, comme en matière de « bétonnage » par exemple où l’on s’aperçoit que l’architecte qui a déposé le plus de permis à Bandol ces dernières années, parfois en zone littorale, est sa première adjointe potentielle.
Ces méthodes d’une autre époque ne sont pas les nôtres. Notre liste est sans étiquette parce que notre parti c’est Bandol ! Le 28 juin, vous aurez ainsi à choisir entre l’expérience d’une équipe soudée, opérationnelle dès le premier jour, qui a fait ses preuves en temps de crise, et les errances, les approximations, les prescriptions parfois farfelues d’une liste faite d’ennemis d’hier et d’un candidat parachuté à Bandol qui n’avait jamais montré le moindre intérêt pour notre ville avant les élections.
Le 28 juin, votez pour que Bandol puisse continuer d’avancer en toute sérénité, votez pour une vision d’avenir pour Bandol !