Dans une ultime décision du Conseil d’Etat rendue il y a quelques semaines, le contentieux électoral introduit par le groupe d’opposition vient d’être définitivement rejeté.
Mes opposants, nouveaux et anciens, ont laissé courir durant les élections des rumeurs nauséabondes sans jamais prendre leur distance, voire en les amplifiant : l’une d’elles qui concernait les procurations a servi de prétexte à attaquer le résultat de l’élection.
Le tribunal administratif a dans un premier temps jugé que l’élection était régulière et m’a donc confirmé dans mon mandat de maire avec l’équipe qui m’entoure pour siéger comme majorité municipale.
Nos opposants, sans plus d’arguments, ont fait appel de la décision devant le Conseil d’Etat, qui a donc confirmé en appel que je resterai maire pour le mandat 2020-2026.
Nos opposants ont cependant demandé au Conseil d’Etat de revenir sur sa décision : il aurait selon eux fait une erreur matérielle faussant sa première décision. Las, le Conseil d’Etat a rejeté cette ultime tentative désespérée.
Cette décision est logique, mais resteront les fausses accusations, dont certaines concernaient des proches, et les témoignages douteux. On dit que la politique est violente et rend parfois les gens fous, et les municipales à Bandol en donnent malheureusement un exemple assez régulièrement.
Nous continuerons à affronter les procès que nous fait l’opposition (certains encore en cours), qu’elle s’acharne à perdre avec une constance notable. Qu’elle sache une chose : loin de nous démoraliser, elle ne fait que nous surmotiver à poursuivre notre action pour les Bandolais, aujourd’hui comme demain.